Si la vente sur plans (vente en l’état futur d’achèvement, ou VEFA) offre de nombreux avantages, ses spécificités peuvent également souffrir de préjugés propres à décourager certains acquéreurs. Parmi eux, les primo-accédants sont les plus exposés : si investir et emprunter ne fait pas peur aux jeunes actifs qui se projettent facilement dans l’idée d’acheter leur premier logement dans le neuf, certaines incertitudes peuvent les décourager. « Avant de lancer un tel dispositif, nous avons étudié avec l’institut Ipsos les motivations et les freins des primo-accédants à acheter un logement neuf », explique Anaïs Thourot, Directrice générale du Groupe Roxim.
Acheter sur plans : une démarche risquée ? C'est la difficulté d’imaginer ce que sera leur logement, une fois réalisé, qui est ressorti en premier lieu de cette étude : lire un plan est une chose, mais que se passerait-il s’ils s’apercevaient finalement que le logement qu’ils convoitent ne correspond pas à leurs attentes ? Qu’après s’être rendu sur place, l’atmosphère du quartier sélectionné pour accueillir leur programme n’était pas celle qu’ils avaient espérée, que des nuisances auxquelles ils n’étaient pas préparés surgissent ? Ou qu’au cours des travaux, un retard s’installait, décalant la livraison ?
Une formule qui fait ses preuves. Fort de ces observations, Roxim a imaginé une formule sur mesure, qu’il a commencé à mettre en place début 2018. Une première, car en France, c'est le seul promoteur à proposer ce service. Les conditions pour profiter du dispositif « Satisfait ou remboursé » sont simples : il faut acheter sa résidence principale sur plans grâce à un prêt à taux zéro et la choisir parmi les programmes Roxim bénéficiant de l’offre. En souscrivant à cette formule, si l’acheteur n’était pas pleinement satisfait — ou si sa situation personnelle ou familiale venait soudainement à changer — il pourrait faire jouer la garantie à tout moment durant les travaux, et au plus tard au moment de déménager (c’est-à-dire à la remise des clés) : Roxim ou sa filiale s’engageraient alors à racheter son bien au prix ou il l’aura payé et ce, sans qu’il n’ai aucune justification à avancer, laissant à l'acquéreur une totale liberté.
Généralisé à l’ensemble de ses programmes. Ce dispositif sécurisant est donc perçu par les clients du promoteur comme « un filet de sécurité supplémentaire », et accueilli très favorablement. Après avoir été testé sur trois programmes pilotes du sud-est de la France et bénéficié à 74 acheteurs, deux remboursements seulement ont été sollicités, toujours en amont de la livraison. Dans les deux cas, ce sont des aléas liés à des problématiques familiales (arrivée d’un enfant et séparation) qui ont motivé la décision des acheteurs. La qualité de la prestation offerte par le promoteur n'a jamais été mise en cause : « Nous sommes très exigeants sur l’emplacement de nos résidences, la conception et le rapport qualité/prix de nos logements et faisons preuve de la plus grande transparence auprès de nos clients » souligne-t-on chez Roxim.
Trois nouvelles réalisations concernées. Fort des résultats encourageant de ce test « grandeur nature », le promoteur a donc fait le choix de généraliser ce dispositif à l’ensemble de ses programmes. À Montpellier, c'est Le Domaine du Parc, déjà en cours de commercialisation, qui va à son tour bénéficier de la garantie « Satisfait ou remboursé », ainsi que la résidence Primavera à Fréjus et l'Oustau Verde à Puget-sur-Argens. Plus d’information : roxim.com
